[EXEMPLE] On se débarasse du grenier.

Quelque jours après avoir était déçu par le vendeur de la boutique, Monsieur X retourna a la boutique pour vendre son armure et son épé antique. Par chance ce n'était pas le vieillard mais un aprenti. Il le salua puis exposat ses objets, quand le voix du vieillard retenti dans la boutique.

-Je t'ai déjà dit qu'il n'y a pas d' arrangement dans ma boutique jeune galopin. Le vieillard sortit d'un petite porte, muni de sa canne. et s'approchat du comptoir et apperçu la collection.

-Je ne suis pas là pour acheter mais pour vendre.

-J'avai bien vue, insolent. Bon combien tu en veux, que l'on en finisse vite.

-Et bien, une épée antique, un bouclier encore neuf, j'en demande 200 piéces d'or.

-Je suis pas du genre a me faire arnaquer.

-Non mais par contre vous arnaquer facilement.

-Dans la vie, on chasse ou on est chassé, mon je chasse et mes client sont chasser. Je t'en donne 120 piéces d'or.

-Disons 175

-150 et je monte pas plus haut.

-Affaire vendue.

Monsieur X content de son affaire sortit de la boutique avec l'argent et le vieillard croyant l'avoir arnaquer place les armes dans sa colaction sur un mur. Monsieur X entrouvi la porte et regarda le vieillard.

-Cette fois si vous avez était chasser et même tuer, ces objet n'ont aucune valeur ... Ce sont des imitation fait avec de vieux matèriaux pourrit.

L'épée tombat en poussière sur le sol, le vieillard fixa M. X qui lui sourriait avant de partir chez lui. Le vieu arnaqueur piquat une crise pas possible . . .

Dans votre poste, vous ne prenez pas les décision du vendeur bien sur, c'est moi qui m'en chargera.

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